Création d'universités populaires en RDC (sud) en RCA, au Niger et à Madagascar (sud-est) |
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Dans la majorité des pays d’Afrique et à Madagascar, les taux de scolarisation des filles sont les plus faibles. On refuse parfois de les envoyer à l’école parce qu’elles doivent se marier et faire des enfants. Les femmes sont donc dans leur grande majorité analphabètes et pauvres. La création des universités populaires à pour mission d’améliorer leurs connaissances et leurs compétences et de leur donner une possibilité d’améliorer leur condition et leur situation. Les thèmes enseignés dépendent des besoins des femmes dans chaque localité. |
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Création d'un observatoire sur les violences faites aux femmes en RDC et d'un centre de recherche sur le genre au Cameroun |
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Les violences sexuelles, les harcèlements sexuels, les violences au sein du couple, les mariages forcés, les mutilations sexuelles sans toutefois être des particularités africaines constituent des préoccupations sérieuses pour le continent. Les conflits armés, la tradition et ses stéréotypes et la pauvreté en sont les principales causes. L’émergence récente d’une préoccupation sur les questions de genre dans les sociétés africaines exprime la nécessité de mettre en place des centres de recherche sur la question. |
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Création de 54 Radios communautaires pour la promotion de la concertation entre les genres. |
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L’utilisation des médias aujourd’hui en Afrique peut faciliter la concertation entre les genres en jouant le rôle de plateformes multi acteurs et multi niveaux qui permettent aux femmes, aux hommes, aux autorités traditionnelles et aux hommes politiques de discuter ensemble sur la situation et la condition de la femme et sur la nécessité gardiennes d’y apporter des solutions viables. Nous avons prévu commencer par des radios et lorsque les moyens le permettront, passer à la télévision ^pour mieux sensibiliser les différents acteurs et réaliser de manière permanente des plaidoyers. |
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Création de 54 incubateurs d’entreprises féminines en Afrique. |
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Le faible accès de la femme africaine aux emplois rémunérés et aux facteurs de production explique sa forte dépendance de l’homme et sa faible autonomisation sur le plan financier. Pourtant cette autonomisation est une base inévitable pour toute politique d’égalité et de justice sociale. La création des incubateurs apparait donc ici comme une absolue nécessité. L’incubateur aura pour rôle d’accompagner les femmes et les jeunes filles dans la création d’entreprise en mettant à leur disposition une multitude de services leur permettant de se lancer dans les meilleures conditions. |
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Création d'un magazine pour la promotion de la femme africaine à Madagascar |
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Il s’agit de créer un magazine comme AMINA, FEMME AFRICAINE,…mais différent dans le contenu. FFEMMES D’AFRIQUE est un journal militant qui en plus de promouvoir la femme africaine, lutte pour la reconnaissance de ses droits et l’allègement du poids de la tradition sur sa vie quotidienne. Une autre mission de ce magazine est de créer des réseaux de femmes en Afrique et de contribuer à l’émergence de femmes politiques dans le continent. |
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Création d'un Fonds pour le financement des initiatives des africaines au Sénégal |
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Selon la Banque Mondiale, en Afrique, peu de femmes travaillent dans les secteurs formels de l’économie et même celles qui y travaillent gagnent généralement trop peu pour échapper à la pauvreté. Pourtant, l’égalité entre les sexes est considérée comme un droit fondamental depuis plusieurs décennies. Les femmes qui travaillent touchent moins que leurs collègues hommes. de manière à réduire les inégalités économiques, sociales et politiques entre les hommes et les femmes. Les programmes publics et la coopération internationale n’arrivent pas à améliorer considérablement cette situation. La création d’un fonds est nécessaire pour la promotion des entreprises féminines en Afrique. |
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