Proposition de solution à l'histoire de Carine


 

Dans le cas de Carine, sa situation est complexe parce qu’elle vivait en concubinage avec son homme. Le concubinage est selon le code civil camerounais « une union de fait caractérisée par une vie commune présentant un caractère de stabilité et de continuité entre deux personnes de sexe différent qui vivent en couple ». Il faut une promesse de mariage ou le versement de la dot.

Comme nous l’avons dit plus haut, Carine devait obtenir de son concubin l’engagement de mariage devant un officier d’état civil pour avoir au moins une promesse de mariage. Ainsi, en cas de rupture abusive des fiançailles comme c’est le cas, elle aurait pu obtenir réparation pour rupture des fiançailles. De même, si elle a été dotée, c’est une preuve de promesse de mariage. Ainsi, comme son compagnon a décidé de la répudier, il devrait répondre devant une juridiction en réparation, en dommage et intérêts, car en rompant abusivement sa promesse de mariage, il a fait subir à Carine un préjudice qui doit être réparé.

En ce qui concerne les enfants, ils sont protégés par l’ordonnance de 1981 et la constitution du Cameroun qui veut faire prévaloir l’égalité entre les enfants.
Ainsi lorsque les enfants naissent    d’une union comme celle de Carine,  et qu’ils sont reconnus par leur géniteur, il devrait assumer ses obligations en lui versant une pension alimentaire. S’il veut se soustraire de ses obligations, la mère des enfants  peut engager des procédures contre le père  de ces enfants enfin qu’il respecte ses obligations. Source : wwwongola.com

Mais prévenir vaut mieux que guérir, on peut éviter tous ceci en évitant de vivre dans une même maison avec un homme qui ne vous a pas épousé et surtout éviter autant que possiblede faire des enfants avec lui. Il y a plusieurs méthodes contraceptives que nous pouvons vous conseiller.

 

 

 


Proposition de solution à l'histoire de Lucille





Proposition de solution à l'histoire d'Antoinette

 


Proposition de solution à l'histoire de Dora